Suite au nettoyage du 4×4, il a fallu s’attaquer à la partie mécanique. On part pas pour 100 000 km comme ça…

On a fait faire quelque interventions compliquées (dû au manque de matériel sur le parking pour tomber une boite de vitesse de pas loin de 100 kg…) comme vérifier l’embrayage et changer l’arbre entre boite de vitesse et boite de transfert.

On s’occupe nous-même de changer le joint spi arrière gauche.

Petit nettoyage et peinture du compartiment moteur au passage…

Et enfin le gros du travail, changement des joints et roulements avants qui commençaient à fatiguer. Ils étaient très probablement d’origine – 180 000 km environ, dont un paquet sur piste.

Démontage! La seule partie vraiment galère c’est les rotules mais on finit par y arriver grâce à l’achat d”un extracteur de rotule de bonne qualité, et pas mal de dégrippant 😉

Il va beaucoup moins bien marcher forcément…

Puis nettoyage des pièces et stockage là où on peut.

On en profite pour changer le joint de nez de pont, il avait fui légèrement dans les Balkans. Joli différentiel!

Étape suivante : changer les roulements. Petite astuce : utiliser les cage des roulements usées pour mettre en place les nouvelles sans les abîmer.

Plus qu’à tout remonter en respectant bien les couples de serrages (dans le manuel Toyota). Pour la précontrainte des roulement c’est un peu plus au feeling – il faut un outil Toyota spécial pour le régler mais tout les mécanos le font au jugé. On verra sur la durée…